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Sa Majesté des Mouches

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William golding

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Soit un groupe d'enfants, de six à treize ans, que l'on isole sur une île déserte. Qu'advient-il d'eux après quelques mois ? William Golding tente l'expérience. Après les excitantes excursions et parties de baignade, il faut s'organiser pour survivre. C'est au moins la réflexion de Ralph, celui qui fut élu chef au temps heureux des commencements, et du fidèle Piggy. Mais c'est ce que refusent de comprendre Jack, le second aspirant au "trône", et les siens. Cette première division clanique n'est pas loin de reproduire un schéma social ancestral. S'ensuivent des comportements qui boudent peu à peu la civilisation et à travers lesquels les rituels immémoriaux le disputent à une sauvagerie d'une violence sans limite. Dès Sa Majesté des Mouches (1954), porté à l'écran par Peter Brook (1963), apparaît l'obsession de William Golding : l'homme est foncièrement mauvais. Le monde est porteur d'une cruauté sans faille dans laquelle chacun se fourvoie et finit par périr, comme il l'illustre plus tard dans Les Héritiers ou Parade sauvage . L'écrivain reçut le prix Nobel de littérature en 1983. --Laure Anciel

Nombre de pages

245

ISBN

2070374807

editeur

Editions Gallimard

Date de publication

1983-06-14

Description

Soit un groupe d'enfants, de six à treize ans, que l'on isole sur une île déserte. Qu'advient-il d'eux après quelques mois ? William Golding tente l'expérience. Après les excitantes excursions et parties de baignade, il faut s'organiser pour survivre. C'est au moins la réflexion de Ralph, celui qui fut élu chef au temps heureux des commencements, et du fidèle Piggy. Mais c'est ce que refusent de comprendre Jack, le second aspirant au "trône", et les siens. Cette première division clanique n'est pas loin de reproduire un schéma social ancestral. S'ensuivent des comportements qui boudent peu à peu la civilisation et à travers lesquels les rituels immémoriaux le disputent à une sauvagerie d'une violence sans limite. Dès Sa Majesté des Mouches (1954), porté à l'écran par Peter Brook (1963), apparaît l'obsession de William Golding : l'homme est foncièrement mauvais. Le monde est porteur d'une cruauté sans faille dans laquelle chacun se fourvoie et finit par périr, comme il l'illustre plus tard dans Les Héritiers ou Parade sauvage . L'écrivain reçut le prix Nobel de littérature en 1983. --Laure Anciel

Format

Poche

Auteur

William Golding

extra1

|William Golding|Roman en poche

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vendu par Fnac.com

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Roman en poche

categorie

LivresLitteraturePoches littérature internationale (Autre)

programId

3828

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attributs

Livres / Epaisseur=1.10 Cm;Livres / Largeur=10.40 Cm;Livres / Longueur=17.40 Cm;Dimensions et poids / Poids=155 g;Livres / Nb de pages=246 Pages;Classification Titelive Secondaire=Litterature Romans Poche;Classification Titelive Primaire=Litterature Format Poche;Disponibilité=Disponible;Date=2001-03-21 00;Livres / Collection=Folio;Livres Origine=Decitre;Propriétaire=Decitre;Livres / Format=Poche;Classification Decitre 1=Poches littérature internationale;Livres / Période=Livre édité depuis 1980;Lieu de parution=Paris Cedex 07, France;Support / Quantité fournie=1

theme

Poche

realisateur

William Golding

Marque

chez Gallimard - William Golding

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