The intruder

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Olivier temime

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En 1996, le tout-Paris jazz incrédule (Duc des Lombards, Sunset, Petit Opportun) voit débarquer un bien joyeux luron. Technique à la Joe Henderson, coiffure à la Wendy O'Williams. Aucun problème. A l'époque déjà, Olivier Temime n'est pas seulement bon, il est carrément excellent. C'est du moins l'opinion de Johnny Griffin, l'ancien souffleur fétiche de Thelonious Monk, qui l'invite à remplacer dans sa formation le maître toulousain Guy Lafitte, souffrant. Le nouveau lauréat du concours de jazz de La Défense pense assurer là un vague intérim. En fait, il va tourner deux saisons au côté de « Little Giant ».L'hurluberlu sudiste joue désormais dans la cour des grands. Il squatte les Belmondo, fréquente Eric Le Lann, Alain Jean-Marie, George Brown, Michel Graillier, Jean-Loup Longnon, Oliver Johnson, Wynton Marsalis... Aussi bien dans la vie que sur scène ou sur disque, où il prend un malin plaisir à bousculer les auditoires un rien timorés. Qu'on l'attende acoustique et il choruse électrique. Qu'on l'étiquette bopper et le voilà funky...The Intruder, résultat de son association avec un autre fantaisiste, le multi-instrumentiste (basse, guitare, claviers) et haut-savoyard Vincent Artaud, féru de Coltrane, Moondog, Steve Reich et Erik Satie. Au soutien rythmique, un trio de percussionnistes rotatif composé de Paco Sery (Sixun, Joe Zawinul Syndicate.), Cyril Atef (Bumcello, M, Julien Lourau...) et Billy Hart (Jimmy Smith, Herbie Hancock, Lee Konitz, Miles Davis.), tous attachés à surveiller la bonne carburation d'un OMNI (Objet Musical Non Identifié), comme on n'en avait plus observé dans la galaxie jazzy depuis l'album soixante-huitard des Mad Rockers, ce quintette éphémère rassemblé par la fratrie Kuhn (Rolf et Joachim) et renforcé par Volker Krieger, Gunter Lenz et Stu Martin.« Voilà un jazz vraiment original » notait Johnny Griffin, dès 2002, sur le livret du premier enregistrement d'Olivier Temime, Saï, Saï, Saï. Un disque que son signataire ne renie pas, bien sûr, mais à propos duquel il précise : « Aujourd'hui, je m'éclate plus dans ce que je fais. » État d'esprit que tous les auditeurs de ce nouveau CD ne pourront manquer de partager. Malentendants et nains de jardin exceptés.Serge Loupien, octobre 2009, extrait du texte de présentation de l'album.; Interprète(s): Olivier Temime

Description

En 1996, le tout-Paris jazz incrédule (Duc des Lombards, Sunset, Petit Opportun) voit débarquer un bien joyeux luron. Technique à la Joe Henderson, coiffure à la Wendy O'Williams. Aucun problème. A l'époque déjà, Olivier Temime n'est pas seulement bon, il est carrément excellent. C'est du moins l'opinion de Johnny Griffin, l'ancien souffleur fétiche de Thelonious Monk, qui l'invite à remplacer dans sa formation le maître toulousain Guy Lafitte, souffrant. Le nouveau lauréat du concours de jazz de La Défense pense assurer là un vague intérim. En fait, il va tourner deux saisons au côté de « Little Giant ».L'hurluberlu sudiste joue désormais dans la cour des grands. Il squatte les Belmondo, fréquente Eric Le Lann, Alain Jean-Marie, George Brown, Michel Graillier, Jean-Loup Longnon, Oliver Johnson, Wynton Marsalis... Aussi bien dans la vie que sur scène ou sur disque, où il prend un malin plaisir à bousculer les auditoires un rien timorés. Qu'on l'attende acoustique et il choruse électrique. Qu'on l'étiquette bopper et le voilà funky...The Intruder, résultat de son association avec un autre fantaisiste, le multi-instrumentiste (basse, guitare, claviers) et haut-savoyard Vincent Artaud, féru de Coltrane, Moondog, Steve Reich et Erik Satie. Au soutien rythmique, un trio de percussionnistes rotatif composé de Paco Sery (Sixun, Joe Zawinul Syndicate.), Cyril Atef (Bumcello, M, Julien Lourau...) et Billy Hart (Jimmy Smith, Herbie Hancock, Lee Konitz, Miles Davis.), tous attachés à surveiller la bonne carburation d'un OMNI (Objet Musical Non Identifié), comme on n'en avait plus observé dans la galaxie jazzy depuis l'album soixante-huitard des Mad Rockers, ce quintette éphémère rassemblé par la fratrie Kuhn (Rolf et Joachim) et renforcé par Volker Krieger, Gunter Lenz et Stu Martin.« Voilà un jazz vraiment original » notait Johnny Griffin, dès 2002, sur le livret du premier enregistrement d'Olivier Temime, Saï, Saï, Saï. Un disque que son signataire ne renie pas, bien sûr, mais à propos duquel il précise : « Aujourd'hui, je m'éclate plus dans ce que je fais. » État d'esprit que tous les auditeurs de ce nouveau CD ne pourront manquer de partager. Malentendants et nains de jardin exceptés.Serge Loupien, octobre 2009, extrait du texte de présentation de l'album.; Interprète(s): Olivier Temime

Titres

Disque 1 1. Purple Dream 2. Remember El-Khobar 3. The Macadam Turtle 4. Red Castle Society 5. Dancing With Gable 6. The Congo Punqs 7. Spirit Of Ecstasy 8. Big Eyes 9. A Night With Boubou Crew 10. Eating Pumkins With Paco 11. Song For Mistinga

Editeur

Futur Acoustic

Nombre de disques

1

Date de sortie

2010-02-25

Label

Futur Acoustic

Artiste

Olivier Temime

Format

CD

Marque

chez Futur Acoustic - Olivier Temime

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