Elba - LOT DE 5 Protèges-cahiers 21x19.7cm en pvc - couleur : cristal lisse Transparent

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Elba

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Cet album signalait l'arrivée de Whiskeytown dans la cour des grands de « l'alternative country ». Après avoir été le chouchou des critiques et un secret plutôt bien gardé, attirant les fans transis mais peu nombreux, le groupe accédait à un major label. Et loin d'y perdre son âme, la formation menée par Ryan Adams proposait une musique encore plus solide ("16 Days"). On percevait mieux que jamais la dualité du personnage, son romantisme échevelé et sa douce sauvagerie. Entre Keith Richards et Gram Parsons, le chanteur guitariste organisait ses obsessions ("Excuse Me While I Break My Own Heart Tonight") à coup de mélodies imparables, banjo, violons, et pedal steel pour soutien, avec le contrepoint évanescent de la voix de Caitlin Cary. Et puis, il ya cette façon de lâcher les notes de guitare comme des larmes ("Everything I Do"), un jeu qui à lui seul vaut le détour, véritable confrontation entre deux hommes, Phil Wandscher le guitariste sur le départ, et Ryan Adams, sale gosse définitif. On avait là les plus sûrs héritiers d'Uncle Tupelo ("Avenues"), mais le groupe ne résistera pas au tempérament mal léché de son leader. Il se séparera peu après en laissant cette ultime perle. --José Ruiz

Description

Cet album signalait l'arrivée de Whiskeytown dans la cour des grands de « l'alternative country ». Après avoir été le chouchou des critiques et un secret plutôt bien gardé, attirant les fans transis mais peu nombreux, le groupe accédait à un major label. Et loin d'y perdre son âme, la formation menée par Ryan Adams proposait une musique encore plus solide ("16 Days"). On percevait mieux que jamais la dualité du personnage, son romantisme échevelé et sa douce sauvagerie. Entre Keith Richards et Gram Parsons, le chanteur guitariste organisait ses obsessions ("Excuse Me While I Break My Own Heart Tonight") à coup de mélodies imparables, banjo, violons, et pedal steel pour soutien, avec le contrepoint évanescent de la voix de Caitlin Cary. Et puis, il ya cette façon de lâcher les notes de guitare comme des larmes ("Everything I Do"), un jeu qui à lui seul vaut le détour, véritable confrontation entre deux hommes, Phil Wandscher le guitariste sur le départ, et Ryan Adams, sale gosse définitif. On avait là les plus sûrs héritiers d'Uncle Tupelo ("Avenues"), mais le groupe ne résistera pas au tempérament mal léché de son leader. Il se séparera peu après en laissant cette ultime perle. --José Ruiz

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Geffen - Universal Music

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