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L'Amour, comme un camion fou

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Jean-pierre andrevon

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Quadragénaire angoissé en villégiature chez sa vieille mère, François est invité par un couple d'amis dans une maison perdue au fin fond d'un village près de Clermont-Ferrand. Sous la canicule du mois d'août, il prend la route. Une mauvaise liaison téléphonique plus tard, il apprend que ses amis ont du s'absenter momentanément et qu'il sera finalement seul pour une nuit. Au téléphone, il a cru distinguer le mot "incendie", se demande pourquoi Marianne, la femme du couple, paraissait si prévenante avec lui... Parvenu dans la maison vide, sa mémoire, ses cauchemars, sa libido, son imagination, sa paranoïa et ses angoisses l'assaillent en même temps que de curieux sons et qu'un étrange chat couvert de cicatrices. Et ce mot, ce mot "incendie" qui l'obsède, résonne sous son crâne et annonce une catastrophe qui vient vers lui comme roule un camion fou. À tombeau ouvert. Roman de l'enfermement, du malaise et de l'angoisse où le lecteur comme le héros ne savent jamais trop distinguer le réel du délire, ce texte à la première personne est en fait une réécriture de Incendie d'août , paru confidentiellement aux Éditions de l'Incertain en 1993. Depuis, Jean-Pierrre Andrevon est devenu un auteur culte reconnu surtout en science-fiction – il est entre autres l'inventeur de Les Hommes-machines contre Gandahar , primé à de nombreuses reprises et adapté au cinéma par René Laloux – mais aussi en littérature jeunesse, en nouvelles et bien sur en polar. Faiseur de mondes remarquablement doué pour les descriptions (ici, celle de la maison confine à la perfection), il marche clairement dans les traces de son ami Serge Brussolo qui préface d'ailleurs ce roman très original en assurant qu'Andrevon est de ceux qui peuvent faire bouger le roman policier français et le sortir du bourbier pesamment réaliste dans lequel il est en train de s'embourber. L'argument est contestable, ce qui n'est pas le cas de la qualité de ce roman surréaliste et intimiste qui se lit d'une seule traite, l'angoisse rivée aux tripes. --Bruno Ménard

Nombre de pages

281

ISBN

2702430244

Editeur

Editions du Masque

Date de publication

2001-12-15

Description

Quadragénaire angoissé en villégiature chez sa vieille mère, François est invité par un couple d'amis dans une maison perdue au fin fond d'un village près de Clermont-Ferrand. Sous la canicule du mois d'août, il prend la route. Une mauvaise liaison téléphonique plus tard, il apprend que ses amis ont du s'absenter momentanément et qu'il sera finalement seul pour une nuit. Au téléphone, il a cru distinguer le mot "incendie", se demande pourquoi Marianne, la femme du couple, paraissait si prévenante avec lui... Parvenu dans la maison vide, sa mémoire, ses cauchemars, sa libido, son imagination, sa paranoïa et ses angoisses l'assaillent en même temps que de curieux sons et qu'un étrange chat couvert de cicatrices. Et ce mot, ce mot "incendie" qui l'obsède, résonne sous son crâne et annonce une catastrophe qui vient vers lui comme roule un camion fou. À tombeau ouvert. Roman de l'enfermement, du malaise et de l'angoisse où le lecteur comme le héros ne savent jamais trop distinguer le réel du délire, ce texte à la première personne est en fait une réécriture de Incendie d'août , paru confidentiellement aux Éditions de l'Incertain en 1993. Depuis, Jean-Pierrre Andrevon est devenu un auteur culte reconnu surtout en science-fiction – il est entre autres l'inventeur de Les Hommes-machines contre Gandahar , primé à de nombreuses reprises et adapté au cinéma par René Laloux – mais aussi en littérature jeunesse, en nouvelles et bien sur en polar. Faiseur de mondes remarquablement doué pour les descriptions (ici, celle de la maison confine à la perfection), il marche clairement dans les traces de son ami Serge Brussolo qui préface d'ailleurs ce roman très original en assurant qu'Andrevon est de ceux qui peuvent faire bouger le roman policier français et le sortir du bourbier pesamment réaliste dans lequel il est en train de s'embourber. L'argument est contestable, ce qui n'est pas le cas de la qualité de ce roman surréaliste et intimiste qui se lit d'une seule traite, l'angoisse rivée aux tripes. --Bruno Ménard

Format

Poche

Auteur

Jean-Pierre Andrevon

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