Life On Other Planets

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Supergrass / various

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Trois ans, c'est ce qu'il aura fallu attendre entre le précédent album de Supergrass et celui-ci. Pendant ce temps, les Britanniques ont quelque peu flâné et, surtout, se sont retrouvés, en dehors des tournées, prenant soin de savoir ce qu'ils voulaient faire sur Life On Other Planets . Premier élément de surprise, le trio de la région d'Oxford est devenu quatuor, intégrant Rob, le frère du leader aux rouflaquettes Gaz Coombs, aux claviers – il gravitait déjà aux alentours. Deuxième élément de surprise, la musique. Si la formule est grosso modo la même dans les grandes lignes, force est de reconnaître qu'elle est désormais rodée, au point que Supergrass livre en 2002 son meilleur disque depuis I Should Coco , premier opus que les amateurs croyaient à tort insurpassable. Outre le fait que la rage d'en découdre est intacte comme au premier jour, que la facilité est toujours de leur côté (Danny Goffey, impressionnant à la batterie, évoque Keith Moon des Who) et que leur fraîcheur et leur spontanéité n'ont pas été entamés par l'usure des années, la bande s'impose grâce à l'impression de plus grande variété qui se dégage de l'ensemble, qui ratisse tant du côté des Kinks, Stranglers et Marc Bolan que du ska qui rappelle ce que la formation doit à Madness. Glam, punk et power pop sont les mots qui viennent spontanément à l'esprit pour définir le caractère ce nouvel opus, celui d'un groupe qui, sept ans auparavant, assurait la première partie de Ride et Blur : la longévité est du côté de Gaz et des siens ! --Hervé Comte

Description

Trois ans, c'est ce qu'il aura fallu attendre entre le précédent album de Supergrass et celui-ci. Pendant ce temps, les Britanniques ont quelque peu flâné et, surtout, se sont retrouvés, en dehors des tournées, prenant soin de savoir ce qu'ils voulaient faire sur Life On Other Planets . Premier élément de surprise, le trio de la région d'Oxford est devenu quatuor, intégrant Rob, le frère du leader aux rouflaquettes Gaz Coombs, aux claviers – il gravitait déjà aux alentours. Deuxième élément de surprise, la musique. Si la formule est grosso modo la même dans les grandes lignes, force est de reconnaître qu'elle est désormais rodée, au point que Supergrass livre en 2002 son meilleur disque depuis I Should Coco , premier opus que les amateurs croyaient à tort insurpassable. Outre le fait que la rage d'en découdre est intacte comme au premier jour, que la facilité est toujours de leur côté (Danny Goffey, impressionnant à la batterie, évoque Keith Moon des Who) et que leur fraîcheur et leur spontanéité n'ont pas été entamés par l'usure des années, la bande s'impose grâce à l'impression de plus grande variété qui se dégage de l'ensemble, qui ratisse tant du côté des Kinks, Stranglers et Marc Bolan que du ska qui rappelle ce que la formation doit à Madness. Glam, punk et power pop sont les mots qui viennent spontanément à l'esprit pour définir le caractère ce nouvel opus, celui d'un groupe qui, sept ans auparavant, assurait la première partie de Ride et Blur : la longévité est du côté de Gaz et des siens ! --Hervé Comte

Nombre de disques

1

Label

Parlophone

Artiste

Supergrass / Various

Format

CD

Editeur

Parlophone

Titres

Disque 1 1. Za 2. Rush Hour Soul 3. Seen The Light 4. Bregon Beacons 5. Can'T Get Up 6. Evening Of The Day 7. Never Done Nothing Like That Before 8. Funniest Thing 9. Grace 10. La Song 11. Prophet 15 12. Run

Date de sortie

2002-10-03

isbn

0

attributs

Rubrique principale CD=CD Album;Artistes Similaires=The Small Faces;Genre musical=Rock;Classification CDMail=Variétés internationales;Classification Cd Primaire=Rock, Rap, variétés internationales;Support / Quantité fournie=1

theme

CD Album

realisateur

Supergrass

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