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Jean-louis murat

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C'est un Murat en roue libre que l'on entend tout au long des 23&#160plages de ce long Lilith . Un Murat qui joue avec les mots et les sons sans se limiter, même s'il nous a toujours habitués à cette liberté de ton. Tiens, le ton. Justement. Plus que jamais, le regard de Murat sur l'existence apparaît ici dans sa profonde identité. C'est ça, le ton de Jean-Louis. Un Murat qui ne laisse à personne le soin de prolonger sa parole et qui, dans une sobriété aiguë, lâche des notes et des sons de guitare ("On ne peut pas dire") qui brûlent. On aurait du mal (et on aurait tort aussi) de voir autre chose que le seul et même long épisode à travers ce gros disque. Voilà que l'Auvergnat fait son Brassens désabusé ("À la morte fontaine"), son John Lee Hooker tourmenté ("C'est l'âme qu'on nous arrache"). La chanson titre permet d'affirmer une fois pour toutes que Jean-Louis Murat règne sans discussion sur un rock français peu hardi. Et lorsqu'il emprunte des chemins inattendus avec cette langue si crue et si belle ("Le Contentement de la Lady"), il semble bien que pour cette fois, tout soit dit : Murat a réussi un disque d'anthologie, comme tous les grands albums des années 70 qu'il vénère. --José Ruiz

Description

C'est un Murat en roue libre que l'on entend tout au long des 23 plages de ce long Lilith . Un Murat qui joue avec les mots et les sons sans se limiter, même s'il nous a toujours habitués à cette liberté de ton. Tiens, le ton. Justement. Plus que jamais, le regard de Murat sur l'existence apparaît ici dans sa profonde identité. C'est ça, le ton de Jean-Louis. Un Murat qui ne laisse à personne le soin de prolonger sa parole et qui, dans une sobriété aiguë, lâche des notes et des sons de guitare ("On ne peut pas dire") qui brûlent. On aurait du mal (et on aurait tort aussi) de voir autre chose que le seul et même long épisode à travers ce gros disque. Voilà que l'Auvergnat fait son Brassens désabusé ("À la morte fontaine"), son John Lee Hooker tourmenté ("C'est l'âme qu'on nous arrache"). La chanson titre permet d'affirmer une fois pour toutes que Jean-Louis Murat règne sans discussion sur un rock français peu hardi. Et lorsqu'il emprunte des chemins inattendus avec cette langue si crue et si belle ("Le Contentement de la Lady"), il semble bien que pour cette fois, tout soit dit : Murat a réussi un disque d'anthologie, comme tous les grands albums des années 70 qu'il vénère. --José Ruiz

Nombre de disques

2

Label

Virgin France Labels

Artiste

Jean-Louis Murat

Format

CD

Editeur

Virgin France Labels

Titres

Disque 1 1. Les Jours Du Jaguar 2. A La Morte Fontaine 3. La Maladie D'Amour 4. Le Mou Du Chat 5. Tant La Vie Demande A Mourir 6. Le Cri Du Papillon 7. Zibeline Tang 8. Lilith 9. C'Est L'Ame Qu'On Nous Arrache 10. De La Coupe Aux Lèvres 11. On Ne Peut Rien En Dire 12. Le Revolver Nommé Désir Disque 2 1. Se Mettre Aux Anges 2. Qui Est Cette Fille? 3. Emotion 4. Le Contentement De La Lady 5. Le Voleur De Rhubarbe 6. Le Désarmement Intérieur 7. Elle Pleure 8. Le Salaud 9. La Nature Du Genre 10. Gel Et Rosée 11. L'Absence De Vraie Vie

Date de sortie

2003-08-26

isbn

0

attributs

Rubrique principale CD=CD Album;Date=2003-08-26 00;Artistes Similaires=Memphis Slim;Genre musical=Pop;Classification CDMail=Variétés françaises;Classification Cd Primaire=Rock, Rap, variétés françaises;Support / Quantité fournie=2

theme

CD Album

realisateur

Murat, Jean-Louis

stock

8

139984_prixing_anonymous

07.02.2012

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